Avant toute chose, sachez que les photos qui vont suivre ne sont pas triées, que la lumière et les contrastes n'ont pas été corrigés. Bref ce sont des "brouillons" mais j'étais tellement impatiente de vous les montrer que Jean a fini par céder et me les donner. Donc comme d'habitude les photos sont de :
Jean .
Et aussi : oui, nous sommes un peu fous !
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Voici la robe à tournure, sur le pont Charles avec le château en arrière plan |
Comme promis j'ai ajouté des noeuds en satin pour relever le rang de dentelle sur les manches. On le voit mieux sur certaines photos qui viennent. J'ai aussi trouvé des violettes en cellulose dans une échoppe du marché aux puces de saint Ouen
tombés du camion. Ce qui m'a permis de recréer l'effet d'une "légère guirlande de pensées était posée sur ses cheveux noirs sans postiches ; une autre, toute pareille, fixait un nœud de dentelles blanches au ruban noir de la ceinture" d'Anna Karénine.
La coiffure est nulle, j'avais oublié les épingles à cheveux à Paris. Impossible donc de planquer cette frange so XXI°.
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La cape est la cape de 1920 trouvée dans un grenier. Léger anachronisme donc mais personne ne s'est plaint ! |
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La traîne est relevée pour ramasser le moins de poussière possible. Autant le dire, ça n'a pas vraiment fonctionné et tout est à porter au pressing ! |
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A l'opéra (quand on est fou, on l'est jusqu'au bout !) |
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Et voici la même robe relevée sur les épaules, pour être plus "discrète" |
Pour sa première sortie, cette robe-là a été gâtée. Malheureusement, je n'ai pas emporté l'éventail assorti, jugé trop fragile pour faire le voyage. Clairement, il manque à l'appel.
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